Le 23 avril 2007 par J.B.B. Charbonnel
En 1837 parut l’Histoire d’un fou qui s’est guéri deux fois malgré les médecins et une troisième fois sans eux. On ne manquera pas de signaler les remarquables analogies que ce récit présente avec l’Aurélia de Gérard de Nerval : extrême lucidité, maladie vécue non comme une diminution mais comme une exaltation de la personnalité, visions d’ordre cosmogonique et métaphysique, chants mystiques, perception du double, absence d’idées proprement délirantes telles que l’interprétation ou la persécution. Raymond Queneau cite des passages de ce long récit dans Les enfants du limon.
www.larevuedesressources.org/article.php3?id_article=775
En 1837 parut l’Histoire d’un fou qui s’est guéri deux fois malgré les médecins et une troisième fois sans eux. On ne manquera pas de signaler les remarquables analogies que ce récit présente avec l’Aurélia de Gérard de Nerval : extrême lucidité, maladie vécue non comme une diminution mais comme une exaltation de la personnalité, visions d’ordre cosmogonique et métaphysique, chants mystiques, perception du double, absence d’idées proprement délirantes telles que l’interprétation ou la persécution. Raymond Queneau cite des passages de ce long récit dans Les enfants du limon.
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