Précédemment, Echorouk avait dépisté l’existence de ce que l’on appellera crument de l’esclavage. Le plus étonnant c’est qu’il se pratique dans un établissement hospitalier censé assurer le bien-être des malades. En effet le chef de service de psychiatrie de Garidi 2, Kouba, en dépit du règlement interdisant la sortie des malades, ceux-ci sont exploités dans des travaux de construction alors qu’ils souffrent de retard mental.
http://www.echoroukonline.com/fra/index.php?news=4682
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire