mardi 9 novembre 2010

Morbide

  • Mais on dérape très vite, le médecin est aussi fou que ses patients, les infirmières sont déchaînées, l'atmosphère vire au pandémonium morbide et sexué. (« Kill Me Please », une tendresse gore, dans Marianne (magazine), n° 707 du 6 novembre 2010, p.84)

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