Le 12 mars 2007 par Elisabeth Poulet
Louis Wolfson, auteur du livre Le schizo et les langues, se présente comme « l’étudiant de langues schizophrénique » ou encore selon son écriture réformée « le jeune öme sqizofrène. » Ce que Gilles Deleuze appelle un « impersonnel schizophrénique » [1] revêt plusieurs sens : il ne s’agit de rien de moins que d’un combat où le héros ne peut s’appréhender que sous une espèce anonyme, mais il s’agit aussi d’une démarche scientifique où « l’étudiant n’a plus d’autre identité que celle d’une combinaison phonétique ou moléculaire. » [2] Il s’agit pour l’auteur de dire exactement ce qu’il fait.
http://www.larevuedesressources.org/article.php3?id_article=751
Louis Wolfson, auteur du livre Le schizo et les langues, se présente comme « l’étudiant de langues schizophrénique » ou encore selon son écriture réformée « le jeune öme sqizofrène. » Ce que Gilles Deleuze appelle un « impersonnel schizophrénique » [1] revêt plusieurs sens : il ne s’agit de rien de moins que d’un combat où le héros ne peut s’appréhender que sous une espèce anonyme, mais il s’agit aussi d’une démarche scientifique où « l’étudiant n’a plus d’autre identité que celle d’une combinaison phonétique ou moléculaire. » [2] Il s’agit pour l’auteur de dire exactement ce qu’il fait.
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